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- Publication : 4 novembre 2016
Un rebondissement de taille dans l’affaire Omar Raddad. La justice est sur le point d’ordonner l’arrestation d’un suspect dont les empreintes correspondent aux traces ADN retrouvées sur l’un des scellés et enregistrées dans le Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG).
Selon 20minutes.fr, la décision pourrait intervenir aujourd’hui ou demain, mais la gendarmerie doit d’abord localiser le principal suspect avant de l’arrêter. « Il y a un soupçon d’identité entre une des traces et un enregistrement au Fichier national automatisé des empreintes génétiques », a confié le procureur de Nice, Jean-Michel Prêtre.
Mais « le moyen d’en avoir le coeur net, c’est encore d’aller gratter à l’intérieur de la joue de l’interessés (avec un coton-tige) », a confié une source proche de l’enquête à la même source, car pour l’instant les analyses effectuées par un laboratoire nantais n’ont permis de confirmer ni d’infirmer à 100% la concordance entre les traces ADN retrouvées et la personne fichée.
Condamné en 1994 à 18 ans de prison pour le meurtre de sa patronne, le jardinier marocain a toujours clamé son innocence. En 1998, il a bénéficié d’une libération conditionnelle à la suite d’une grâce présidentielle partielle de Jacques Chirac.
bladi
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