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- Publication : 15 novembre 2016
L’équipe nationale algérienne a été placée devant un choix cornélien, pour ne pas dire stalinien, par le président de leur fédération de football, Mohamed Raouraou. Ou bien ils lui rapportent de Libreville, en février prochain, le trophée de la CAN 2017, ou bien il va les envoyer paître.
«L’EN», comme les Algériens, friands d’abréviations, appellent leur équipe nationale, a complètement raté son entrée en matière dans les éliminatoires de la Coupe du monde 2018.
Etant dans le groupe de la mort avec le Nigeria, le Cameroun et la Zambie, plus personne ne croit à ses chances de qualification au Mondial 2018 après une défaite et un nul.
C’est en tout cas ce qui ressort de la réunion d’urgence que les joueurs ont tenue ce lundi avec Mohamed Raouraou, président de la FAF. Ce dernier a assuré l’EN et son nouvel entraîneur belge qu’il mettra tous les moyens à leur disposition en vue, non pas de réaliser une bonne CAN, mais de gagner le trophée. Sinon les joueurs, qui auront failli à cette obligation de résultat, ne porteront plus le maillot national.
Les termes du nouveau contrat entre la FAF et l’EN sont donc clairs : gagner la CAN ou prendre sa cane… de pèlerin.
le360
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