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- Publication : 10 avril 2019
Voilà une polémique qui dechaine les passions ces derniers mois dans l'actualité santé. Pourquoi met-on de l'aluminium dans les vaccins ? Quels sont les risques qui y sont liés ? Toutes les réponses avec l'équipe Santé Yawatani.
Grâce aux nouvelles techniques de génie génétique, la vaccination n'utilise désormais que des fragments d'ADN du virus ou de la bactérie contre laquelle l'on souhaite se faire vacciner.
L'avantage principal est que l'on a moins de chance de développer des effets indésirables lié au vaccin puisque ces fragments, épurés et travaillés, sont très peu virulents mais suffisants pour déclencher une réaction mémoire si jamais notre corps venait à être confronté de nouveau à ce virus/bactérie.
Par contre, ce fragment peut passer inaperçu et ne déclencher aucune réaction immunitaire. On utilise alors ce qu'on appelle des adjuvants (principalement l'aluminium) qui vont provoquer un afflux de cellules immunitaires et ainsi entrer en contact avec le fragment d'ADN viral ou bactérien.
Nous savons aujourd'hui que ces injections d'aluminium dans les muscles peut donner ce qu'on appelle des myofascites à macrophages où l'aluminium est "piégé" dans le muscle et se libérerait de façon progressive dans le sang pouvant même atteindre le cerveau en cas de barrière hémato-encéphalique (barrière physiologique séparant les neurones de la circulation sanguine) fragile.
D'où l'intérêt parfois de combiner plusieurs vaccins pour limiter les injections d'aluminium.
A noter que certains vaccins comme celui de la grippe ne contiennent pas d'aluminium.
L'équipe Santé Yawatani, n'hésitez pas à nous poser vos questions
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