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- Publication : 11 août 2016
Le ministre chargé des Marocains résidant à l’étranger et des affaires de la migration, Anis Birou, a évoqué hier à l’occasion de la journée nationale du migrant les grandes lignes d’une étude réalisée dans le cadre du projet Sharaka.
On apprend ainsi que 48% des MRE sont des femmes et que 67% d’entre eux se sont rendus au moins une fois dans leur vie au Maroc. Autre donnée notable, 71% des Marocains du monde maîtrisent au moins l’arabe ou l’amazigh.
L’étude révèle également que beaucoup de MRE ont décidé de revenir au Maroc, parmi lesquels une forte proportion de jeunes, notamment la tranche âgée de 30 à 40 ans. « Il est des cas où le projet de retour semble réfléchi en dépit d’une situation professionnelle stable, d’après cette étude », a expliqué Anis Birou.
D’après le ministre, dont les propos ont été rapportés par la Map, 40% des MRE qui investissent au Maroc ciblent l’immobilier, 25% l’agriculture ou l’achat de terrains agricoles, 22% le commerce alors que 13,8% se dirigent vers les services ou la restauration.
Cette étude a été réalisée par le ministère des Marocains de l’étranger et l’agence publique Expertise France.
bladi.net
Commentaires
Je suis Abdelhakim , petit fils d’un défunt marocain de la ville de taourirt. Une de ses terres a été volée par un riche habitant de la ville avec la complicité de paysan de sa campagne. Pendant de longue année il a lutté pour récupèrer sa terre. Il a gagné au procès ainsi qu’en appel à oujda. Il est décédé avant d’avoir obtenu la tranquillité.
Le spoiler de cette terre ne peut la vendre du fait que l’acheteur n’arrive pas à avoir tous les papiers nécessaire au nom de cet homme.
Mes oncles n’en connaissent la loi pour nous aiguiller, mon père résidant en France depuis plus de 45 non plus.
J’aurais aimé avoir de l’aide pour nous guider afin d’honorer notre grand-père et ainsi récupérer ce dont pourquoi mon grand-père s’est battu pendant plus de 20 ans.
Je vous en remercie d’avance.
Abdelhakim
Je suis MRE, petit fils d’un défunt marocain de la ville de taourirt. Une de ses terres a été volée par un riche habitant de la ville avec la complicité de paysan de sa campagne. Pendant de longue année il a lutté pour récupèrer sa terre. Il a gagné au procès ainsi qu’en appel à oujda. Il est décédé avant d’avoir obtenu la tranquillité.
Le spoiler de cette terre ne peut la vendre du fait que l’acheteur n’arrive pas à avoir tous les papiers nécessaire au nom de cet homme.
Mes oncles n’en connaissent la loi pour nous aiguiller, mon père résidant en France depuis plus de 45 non plus.
J’aurais aimé avoir de l’aide pour nous guider afin d’honorer notre grand-père et ainsi récupérer ce dont pourquoi mon grand-père s’est battu pendant plus de 20 ans.
Je vous en remercie d’avance.
Abdelhakim
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