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Les éléments de la Gendarmerie royale ont été écartés du dispositif assurant la sécurité des palais et résidences royaux. Cette mise à l’écart serait intervenue, selon Al Massae, suite à une colère royale contre les hommes de Hosni Benslimane. 

Le roi Mohammed VI serait en colère contre les unités de la Gendarmerie royale chargées de participer à assurer la sécurité des palais et résidences royaux dans plusieurs villes du royaume. L’information est rapportée par Al Massae dans son édition de ce mardi 30 juin. Le journal, citant des sources informées, souligne que le souverain est mécontent du rendement des hommes de Hosni Benslimane, notamment ceux affectés auparavant au dispositif de sécurité de palais et résidences royaux situés dans les grandes villes du pays. D’ailleurs, Al Massae en veut pour preuve la «disparition» des gendarmes auparavant affectés à la sécurité de la résidence royale casablancaise se trouvant à proximité de la plage de Tamaris. Par contre, affirme le journal, les policiers et les éléments des Forces auxiliaires ont intégralement repris la relève. Selon Al Massae, il ne s’agit d'ailleurs pas de la première colère royale du genre contre les hommes de Hosni Benslimane, puisqu’il est arrivé au souverain d’exprimer son insatisfaction vis-à-vis du travail des unités de la gendarmerie affectées à la sécurité des palais et résidences.

Les hommes de Hammouchi investissent Casablanca

Parallèlement à cette mise à l’écart de la gendarmerie du dispositif de sécurité des palais, ajoute le quotidien, d’imposants renforts de police et de brigades d’intervention mobiles sont arrivés à Casablanca avant samedi dernier, jour de l'arrivée du roi dans la Métropole. Ces renforts sont chargés de veiller à ce que la visite du roi se passe dans les meilleures conditions possibles, et c’est tout un dispositif spécial qui a été mis en place à cet effet. Al Massae affirme ainsi que tous les responsables sécuritaires du Grand Casablanca (préfets, chefs de districts…) ont reçu de fermes directives pour redoubler de vigilance et mener des opérations de ratissage dans les «points noirs» de Casablanca. Quant à la police chargée de la circulation et la police judiciaire, elles ont été sommées de dresser des barrages aux entrées de la ville et de vérifier l’identité des personnes qui y pénètrent ainsi que les immatriculations de leurs véhicules.

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