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es retraites des parlementaires ne bénéficieront plus de la contribution de l'Etat. C'est ce qui ressort du grand oral du président du CESE devant les experts de l'Institut Brookings, think tank américain spécialisé en analyse économique, politiques urbaines et gouvernance.

 

Dans un «Talk» à l'Institut Brookings, vendredi 5 février, centré sur les réformes menées par le royaume depuis l'avènement du Printemps arabe, le président du Conseil économique social et environnemental (CESE), Nizar Baraka, s'est longuement attardé sur les réformes apportées par la nouvelle Constitution.

«La Constitution votée en 2011 place le citoyen au centre du dispositif institutionnel. Avec la régionalisation avancée, les centres de décision, désormais décentralisés, encouragent la prise d'initiative locale et l'implication des citoyens», a-t-il dit.

Face, parfois aux doutes émis par les représentants de l'Institut Brookings, autour de la «sincérité» des réformes engagées par le royaume depuis cinq ans, Baraka dégaine l'argument massue en annonçant que l'Etat allait se désengager des pensions des parlementaires, et ce, dit-il, en réponse à la réaction populaire autour du niveau de retraites que perçoivent les élus.

Aucune communication officielle n'était jusqu'ici venue trancher un débat qui anime l'opinion publique depuis plus d'un mois. C'est désormais chose faite. L'Etat ne cotisera plus pour les députés. Une mini-révolution.

Yawatani.com et le360.

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