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- Publication : 11 octobre 2017
Le représentant permanent du Maroc à l’Onu Omar Hilal accuse l’Algérie d’être responsable de l’instrumentalisation du Polisario compromettant ainsi les chances de réussite du processus politique.
Intervenant mardi 10 octobre, l’ambassadeur a accusé l’Algérie d’être « la principale responsable de l’inanité des efforts de paix entrepris jusqu’à maintenant », en provoquant l’échec de la solution africaine « avec la forfaiture de l’admission d’une entité non-étatique au sein de l’Organisation de l’Unité Africaine en 1984 ».
Pour Omar Hilal, l’Algérie, s’est opposée ouvertement à l’accord cadre proposé en 2002 par l’envoyé personnel du secrétaire général, James Baker. Un accord cadre que le Maroc avait accepté en son temps, a-t-il poursuivi, soulignant qu’Alger a mobilisé des « moyens financiers énormes et ses relais diplomatiques dans le monde afin de contrer la proposition d’autonomie que le Maroc a soumise au Conseil de sécurité en 2007 ».
Toujours selon l’ambassadeur, ce pays continue de s’opposer au recensement des populations des camps de Tindouf, « de crainte que la communauté internationale ne découvre la supercherie de leur nombre, largement gonflé, afin de donner l’impression d’un soi-disant peuple dans les camps, où résident actuellement moins de 30.000 personnes ».
« A cette Algérie qui est à l’origine de ce différend régional. A cette Algérie qui tire les ficelles derrière le rideau. A cette Algérie qui obstrue les efforts de l’Onu pour le règlement de ce différend. A cette Algérie championne du niet à toutes les bonnes initiatives dans les relations avec le Maroc. A cette Algérie qui ferme ses frontières avec le Maroc depuis un quart de siècle, contre les règles élémentaires de bon voisinage. A cette Algérie qui gèle l’UMA à cause du différend sur le Sahara, hypothéquant, ainsi, l’intégration régionale tant souhaitée. A cette Algérie qui a mené une campagne féroce, mais vaine, pour contrer le retour du Maroc à sa famille africaine. A cette Algérie, nous disons que le règlement de la question du Sahara sera avec l’Algérie ou ne le sera jamais. A cette Algérie, nous disons qu’elle doit assumer sa pleine responsabilité dans ce différend et s’assoir à la table des négociations pour son règlement définitif ».
bladi
Commentaires
ouvrir les frontières pour la drogue et la pédophilie etc etc... et avoir aucun bénéfice sur tout les plants je dis NON
VIVE L 'ALGÉRIE SANS LE MAROC
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