Yawatani

L'écrivain britannique V.S. Naipaul, prix Nobel de littérature en 2001, est mort à 85 ans, a annoncé samedi sa famille. 


"Il était un géant dans tout ce qu'il a accompli et il est mort entouré par ceux qu'il aimait, ayant vécu une vie pleine de créativité merveilleuse et d'initiative", a déclaré sa femme, Lady Naipaul, dans un communiqué. 
Vidiadhar Surajprasad Naipaul - peintre du déracinement, des petites gens et des empires déclinants - est l'auteur de plus de trente ouvrages. 
Né le 17 août 1932 dans les Antilles britanniques, à Port of Spain, la capitale de la Trinité, d'une famille d'immigrés indiens, il avait étudié la littérature anglaise à l'Université d'Oxford avant de s'établir en Angleterre en 1953. 
Il avait consacré une grande partie de sa vie à voyager et était devenu un symbole du déracinement dans la société contemporaine. 
En lui décernant le prix Nobel en 2001, l'Académie suédoise avait qualifié V.S. Naipaul d'écrivain cosmopolite" et "tourmondiste littéraire". 

"OxyJeunes" 


Le programme artistique du Festival "OxyJeunes" a débuté vendredi soir, à la Place Moulay Youssef à Safi, par des rythmes et sonorités de la troupe panafricaine "Africa United", avec comme objectif d’abolir "les frontières musicales".   Ce groupe musical résidant à Rabat et composé de membres du Maroc, de Côte d’Ivoire, du Congo et des Iles Comores, est avant tout un melting-pot. 
Créé en 2006 à l’initiative du Comorien Fahad Bastos, cet orchestre aux influences aussi diverses que les origines de ses membres s’inspire du terroir africain dans sa grande richesse et ses nuances culturelles, pour écrire un reggae universel, teinté aux sonorités blues, jazz et rock, avec des textes aux thèmes évocateurs et fédérateurs. 
En deuxième partie de la soirée, le jeune chanteur marocain Ihab Amir a enchanté le public safiote et les visiteurs de la Cité de l’Atlantique venus nombreux apprécier la performance musicale de cet artiste devenu populaire sur la scène artistique marocaine. 
La soirée s’est poursuivie à une heure tardive avec l’icône locale de l’art de l’Aita, Anouar Zerhouni ainsi que des artistes de l’art gnaoui et du folklore.

 

Libération 

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